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Contribution à l'explication de la variabilité du rendement d'une culture de maïs plus ou moins intensifiée à l'aide d'un modèle de bilan hydrique amélioré

Forest F., Clopes A.. 1994. In : Reyniers F.N., Netoyo L. (. Bilan hydrique agricole et sécheresse en Afrique tropicale. Vers une gestion des flux hydriques par le système de culture = [Crop water balance and drought in tropical Africa. Towards water flows management by the crop system]. Paris : John Libbey, p. 3-15. Séminaire international sur la gestion agroclimatique des précipitations, 1991-10-09/1991-10-13, Bamako (Mali).

Alors que les économistes préconisent une augmentation massive des productions vivrières, les agronomes de terrain étudient les rendements possibles en fonction des conditions pédoclimatiques. A cet effet sont commentés les indicateurs de "rendement espéré" (IRESP1 et 2). La modélisation se prête à l'analyse du bilan hydrique comme facteur du rendement : il s'agit d'évaluer le risque lié à l'intensification des cultures. Le modèle SARRA (Système d'Analyse Régionale des Risques Agroclimatiques) est présenté, centré sur la maïs au Burkina Faso et au Mali. Des études similaires existent sur arachide, riz pluvial, sorgho, cotonnier. Les auteurs ne perdent pas de vue, toutefois, l'intérêt d'une étude économique des techniques recommandées : coût du mm. d'eau lié à l'unité fertilisante

Mots-clés : maïs; zea mays; rendement; résistance à la sécheresse; intensification; facteur climatique; sénégal

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