La gestion des forêts tropicales et les décisions de politique leur ayant trait sont bloquées par un manque d'informations sûres sur les réponses des forêts à la récolte du bois aux autres interventions sylviculturelles. Bien que les données brutes nécessaires provenant des lots d'échantillons (PSPs) existent à priori, les résultats pertinents sont en géneral indisponibles dû à une carence de capacités analytiques au sein des institutions recelant les données, ou à un manque de motivations pour rendre les données disponibles. Quand la déficience analytique est la cause de l'obstacle, les accords de partage des données collaboratives allant au delà du partage d'analyse de données à des partis extérieurs peut fournir des options équitables et efficaces à court et à long terme. Le simple partage d'analyse de données PSP avec des scientifiques établis des pays extra-tropicaux peut résoudre des problèmes à court terme mais ne peut pas préparer la communauté des scientifiques dans les pays tropicaux à faire face aux défis de la recherche future. Le but de tels accords collaboratifs satisfaisant les besoins et les désirs des différentes parties prenantes est compliqué par des différences culturelles et institutionnelles, mais le progrès sur ce terrain est néanmoins évident.