La mission en Equateur a permis d'identifier les principaux appuis techniques nécessaires dans le domaine de la cacaoculture : sélection d'hybrides, études approfondies sur la moniliose et le balai de sorcière, régénération, pratiques culturales, technologie. Au Pérou, les contacts avec l'INIAA (Institut National de Recherches Agro-Alimentaires) et le PNULAD (Programme des Nations Unies pour la Lutte Anti-Drogue) ont également mis en évidence les besoins de coopération (amélioration, régénération, pratiques culturales, technologie, formation). L'auteur préconise, outre des missions ponctuelles, l'implantation durable en Equateur de 3 chercheurs IRCC (un sélectionneur, un phytopathologiste et un agronome spécialistes du cacaoyer), qui pourront intervenir également au Pérou