Résultat d'une dynamique d'extension sur fronts pionniers par abattage de la forêt et brûlis, le verger cacaoyer ivoirien a connu une progression historique et géographique de l'Est vers l'Ouest du pays. Cette dynamique qui s'étend sur plus d'un siècle, s'est faite au détriment de la forêt primaire dont il ne reste plus aujourd'hui que des lambeaux. Dans ce contexte, un projet de recherche-action mené par le Centre National de Recherche Agronomique (CNRA) et le Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour le Développement (CIRAD) tente de mettre au point des techniques alternatives à la plantation sur défriche de forêt.