Le coordinateur du groupe de travail "master international sur l'eau" de Montpellier (S. PALU) a fait une mission d'évaluation pour ce type de master en Thaïlande et au Vietnam du 28 mars au 6 avril. Il a présenté aux partenaires potentiels le projet de master; à l'Asian Institute of Technology (AIT) de Bangkok, au service de coopération de l'Ambassade de France à Hanoi, au Centre de formation sur l'eau et l'environnement (CNEE) de Hanoi, à l'Université de la Construction de Hanoi (HUCE/CEETIA), aux agences de financements internationaux (Banque Mondiale, Agence Française de Développement, Union Européenne). L'AIT en Thaïlande est favorable au montage du master, mais le financement et la durée restent à définir. Ce projet peut s'inscrire dans un programme régional en Asie favorisé par les ambassades et les ministères français. Le Service de la Coopération (SCAC) de l'Ambassade de France à Hanoi attend une demande formelle du gouvernement vietnamien avant de se prononcer sur le projet. Il recommande de prendre contact avec l'université nationale au Vietnam, d'intégrer le projet au master proposé par l'université d'Aix - Marseille Il; de présenter le projet à la coopération décentralisée avec le soutien de la région Languedoc-Roussillon, d'inscrire ce projet dans un PUF (FSP université). Le Centre de formation sur l'eau et l'environnement (CNEE) est intéressé par un master de type professionnel équivalent à une formation d'école d'ingénieur et n'envisage pas de monter un master avec une université vietnamienne. Pour financer le master en anglais, le programme Asia Link est bien adapté, mais ne financera que 75% du projet. Il faut trouver des financements additionnels. La Banque Mondiale pourrait financer s'il y a une demande du gouvernement vietnamien et que cette proposition de formation s'inscrit dans un programme gouvernemental avec la Banque Mondiale. Ce projet est dans la ligne des objectifs du gouvernement vietnamien dans le domaine de l'approvisionnement en eau